samedi 5 avril 2008

La fête des articles (il fait toujours jour, c'est fabuleux)

Cette soirée était aussi sympathique que le fait de se faire enfermer par mégarde dans un square parisien et d'être obligé d'escalader les grilles pour en sortir. Quand trop d'alcool est ingurgité mon cerveau se dédouble et je m'entends parler. La skyzophrénie du samedi soir, made in vodka. Pure. Yeah. American secla.

Qu'il fasse encore jour à 19h me plonge dans le ravissement le plus complet.

J'ai beau publier de superbes (parfaitement) prises de vues de mon bureau, je n'arrive toujours pas à travailler. Surtout que maintenant que j'ai retrouvé Harry (Potter) tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes sans concours urgents et imminents ; je peux lire et relire la prose anglaise et oublier joyeusement ces livres de révisions sinistres qui ne parlent même pas de magie, de géant, de bonbons aux noms impossibles et de guerres tragiques. Comment espèrent-ils intéresser les candidats avec des titres aussi peu avenants que Penser la communication ? Il faudrait qu'ils pensent tout de même à y mettre un peu du leur, ou on finira tous chômeurs et ardents lecteurs. (et ça rime, on pourra même en faire un slogan pour une manifestation de gauchistes vu que ça a l'air d'être à la mode en ce moment.)

(Disons simplement que le mélange vodka/bière ne s'est pas avéré bon (mais alors pas du tout) et que même les alsacien(ne)s peuvent passer pour des parisiens.)